lundi 25 janvier 2010



Une maison,
Une forteresse,
Une tour,
Une promesse

Derrière le verre d'un fenêtre j'aperçois un lustre,
Ses contours se dessinent,
Mais toi tu n'est pas là.

Je t'attendais, comme tout les jours
Au coin de cette rue dont le nom, toujours m'échappe
Je t'y attendais,
Comme avant,
Au bord de la fenêtre.

Mais aujourd'hui c'est des cries que j'entends,
Ta maison est en feux,
Ta maison est partie,
Je n'ai plus qu'une image,
vague, toujours
Presque un dessin
Seulement

Ta maison à brulé et toi tu est partie
Peut-être dans les flammes
Peut-être pour une nouvelle vie
Pourtant à mes yeux le résultat est même

Chaque jour devant le vide je continu à t'espérer
Chaque jour sans rien devant moi je regarde le lustre.


Une autre photo, encore de cet été, un autre poème que je viens de créer. Comme d'habitude je l'ai écrit direct sur blogger, sans trop penser, comme d'habitude j'ai pas trop relu, mais bon j'espère que c'est par trop mauvais. Des fois je me dit que tout ces poèmes ils faudrait que je les prennent en notes, si jamais mon blog disparraissait il m'en resterait ainsi une trace!

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